Savon Essentiel

​Respect de la peau, respect de soi



Nos savons respectent le film hydrolipidique* et l’équilibre du microbiote* cutané. Ils conviennent à tous types de peau car ils sont surgras, ils régulent les peaux grasses et nourrissent les peaux sèches. Ils ne contiennent AUCUN additif douteux.

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Les gels douche industriels sont des substances agressives destinées à détruire la couche bactéricide de la peau qui est la première protection du corps humain et fait partie intégrante de l’immunité.

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*Film hydrolipidique :

Le film hydrolipidique est un film protecteur recouvrant la totalité de la surface de l'épiderme humain. C'est une émulsion complexe formée de substances provenant de sécrétions (sueur, sébum...) et d'agrégats cellulaires kératinisés ou morts.

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Ce film est à la base de la qualité de l'aspect extérieur de la peau puisqu'il protège de plusieurs façons :

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• Il participe à la constitution de la barrière cutanée (avec la couche cornée) qui s'oppose à la pénétration de substances étrangères.

• Il régule l'hydratation en maintenant les substances hygroscopiques (qui ont des affinités avec l'eau) dans les cellules cornées.

• Il lutte contre les agressions microbiennes en autorisant toutefois le développement de la flore normale. https://fr.wikipedia.org/wiki/Film_...

 

*Microbiote cutané :

Le microbiote cutané humain (ou microflore de la peau humaine) est la communauté de micro-organismes opportuniste, saprophytes, souvent symbiotes et parfois pathogènes qui composent la « flore cutanée ». C'est la partie externe du microbiote de l'organisme humain. De manière générale, la biodiversité bactérienne limite le risque de colonisation de la peau par une bactérie pathogène, et constitue une protection contre l'inflammation de la peau. Une partie de ce microbiote est partagé avec le microbiote des muqueuses et notamment respiratoire. https://fr.wikipedia.org/wiki/Micro...

Nos savons respectent le film hydrolipidique et l'équilibre du microbiote cutané.

 

Ils conviennent à tous types de peau et ne contiennent pas :

 

Emballages plastiques ; conservateurs ; parabènes et autres perturbateurs endocriniens ; parfums artificiels ; colorants ; silicones ; huile de palme ; huiles minérales; graisses animales ; détergents...

​Objectif : 0 déchêts sous la douche!​​

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Gel douche ou pain de savon ? Sans hésitation le dernier. En dehors du fait que le gel douche est conditionné dans des bouteilles en plastiques, il est constitué en majeure partie d'eau (inactive), bourrée de conservateurs, de perturbateurs endocriniens et d'ingrédients polluants qui se faufilent à travers les canalisations. A terme il assèche la peau et fragilise le film hydrolipidique, la barrière protectrice de notre épiderme. Sous forme liquide, on l'utilise aussi en plus grande quantité, ce qui nous oblige à en acheter plus fréquemment.

 

Ces dernières années de nombreuses marque bio de savon ont fleuri sur le marché. Sans matières animales, saponifiés à froid, leurs savons ne font pas que nous laver, ils prennent soin de notre peau grâce à leurs huiles essentielles et leurs huiles végétales. La bonne nouvelle ? Ils sont biodégradables. On privilégie les marques belges pour réduire encore plus notre bilan carbone.

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Par Belen Ucros

Source: Biotempo! N°7, automne 2016, p.28.

PERTURBATEURS ENDOCRINIENS 

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Interview du professeur émérite Pierre-Marie Martin chirurgien oncologue, spécialiste des perturbateurs endocriniens, par Gilles Lartigot.

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Peut-on dire que les perturbateurs endocriniens féminisent les espèces?

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Non seulement ils féminisent les espèces, mais ils les rendent stériles.

Des études ont démontré qu’entre 1960 et 2005, il y a eu une perte de 2% par an au niveau du spermogramme chez l’homme. En 1960 nous avions 100 millions de spermatozoïdes par ml de sperme, en 1980 nous n’avions plus que 75 millions par ml et en 2005 seulement 45 millions par ml ! Le seuil de fertilité de 20 millions de spermatozoïdes par ml pourrait être atteint en Europe et aux Etats-Unis en 2030 !

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Extrait du livre : ‘EAT’ de Gilles Lartigot, page 28.

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On estime à environ 800 le nombre de perturbateurs endocriniens répertoriés.

(JT de 20h sur France 2 du 11 avril 2017)